De 1757 à 1762, Jean-Jacques Rousseau loue à Montmorency une modeste maison paysanne. A l’extrémité d’une allée de tilleuls, un abri de jardin, le « donjon », lui sert de refuge pour écrire la plupart de ses œuvres majeures. Le Montlouis plonge le visiteur au cœur de la vie quotidienne du philosophe.

Des remparts ceinturaient le vieux bourg de Montmorency au XVe siècle. Ils étaient destinés à protéger la population des nombreuses bandes armées qui circulaient alors dans notre région. Il en subsiste certains vestiges, dont les murailles de la partie supérieure des « Jardins de l’Observance ». Elles ont été remises en évidence et restaurées à l’occasion de la création de cet espace vert, au début des années 1990.

En 1719, Pierre Crozat parachève son parc en édifiant ce magnifique bâtiment de jardin, à présent école de Musique et de Danse. Vouée à d’autres affectations tout au long des siècles suivants, l’Orangerie subira un profond réaménagement. Deux rangées de sept fenêtres remplaceront les huit grandes baies d’origine, après la pose d’un plancher intermédiaire. La toiture sera couverte de lucarnes et le pavillon central sera surélevé. La rénovation tint compte de ses adjonctions.

Ancienne chapelle funéraire des Montmorency, la Collégiale est le fleuron de notre patrimoine architectural. On ne peut rester indifférent à son élégance, on ne peut résister à en connaître les détails par une visite approfondie.

Découverte du centre historique de la ville : vestiges de l’enceinte médiévale, ancienne Justice de paix, Collégiale Saint Martin, et Hôtel de Ville.

Élevé au XVIe siècle pour le connétable Anne de Montmorency, à l'emplacement d'une ancienne forteresse médiévale, le château d'Écouen, situé à vingt kilomètres au nord de Paris, domine majestueusement, du haut de sa colline, la Plaine de France. Arborant une architecture Renaissance, ce remarquable édifice est réputé pour abriter les somptueuses collections d'arts décoratifs du musée national de la Renaissance.